Du Petit Prince, où une rose fragile enseigne l’amour véritable malgré un goût de trahison, jusqu’aux wagons feutrés du Crime de l’Orient Express, où la justice serpente entre vérité et vengeance, les histoires s’enchaînent.
Sous le Pont Mirabeau, les souvenirs d’amours anciennes s’écoulent, teintés de nostalgie. À Vérone, sous le feu de la passion, naît l’irréparable, dans un bal tragique de serments et de sang.
Mais heureusement, l’ombre n’efface jamais tout à fait la lumière. Bob Morane, héros inébranlable, fend la jungle, tandis que les Girls in Black, incarnations du girl power, défendent leurs idéaux avec audace.
Sur le rythme envoûtant de Carmen, la liberté danse — séductrice, rebelle — avant de céder la place à Spider-Man, funambule des toits, qui tisse entre deux mondes la toile de l’espoir.
Chaque ballet devient une histoire. Chaque scène, un univers.
Au final, le Petit Prince comprendra qu’il ne s’agit pas de toutes les roses, mais seulement de la sienne, semblable à toutes les autres, et pourtant unique à ses yeux.
Alors il partira la rejoindre, tout comme la petite fille enfermée retrouvera ses parents…
Tous les espoirs sont donc permis après Une Nuit à la Bibliothèque.
Merci et bravo à mes trois collègues professeurs chorégraphes avec qui j’ai le bonheur de préparer et présenter ce spectacle :
@Lucie Dardel
@Véronique Moussier
@Cathy Poriel
Merci et félicitations à tous les danseurs qui ont travaillé sans relâche et donné le meilleur.
Merci à tous les bénévoles qui œuvrent dans l’ombre.
Un grand merci aux techniciens et à toute l’équipe de La Rampe.
Et un immense merci au public !
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